Non sans tenter de renvoyer tout le monde dos-à-dos, Amnesty rend compte de l’épuration ethnique que perpètrent en Côte d’Ivoire les "FRCI" de Ouattara (ça c'est spécifique, et ce n'est pas diffamatoire : c'est Amnesty qui le signale !) dès la page de garde son rapport : "ils ont regardé sa carte d'identité et l'ont abattu"...
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