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Tant que les lions n'auront pas d'historiens, les histoires de chasse tourneront à la gloire du chasseur - Le mensonge se lève très tôt mais la vérité finit par le rattraper - Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage

mardi 12 avril 2011

Vaincu selon les crachats des menteurs, Laurent Gbagbo est déjà entré vainqueur dans l'histoire


Un homme dont le nom brillera...


... Quand déjà est honni celui du petit caporal hypocrite qui a fait massacrer son peuple.

... Quoi que tente de mentir le révisionnisme franco-rebelle en marche.

Parmi les massacres
dont le petit caporal
et ses sbires ouattaresques
seront redevables.

6 commentaires:

  1. Ecoutons les poetes , car ils nous portent depuis le début:
    ma france:
    http://www.youtube.com/watch?v=qkO7_rhhCbA
    un jour un jour

    http://www.youtube.com/watch?v=6TY9CWXgcJQ
    le feu:
    http://www.youtube.com/watch?v=hCuzbFGGjr0

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  2. Et maintenant préparons les prochaines élections. C'est quand les prochaines élections ?

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  3. En France ? Mai 2012, si Terminator tient jusque là...
    En RCI, c'est, en l'état actuel des choses, suite à un minimum deux mois après le désarmement des rebelles, si l'Onu accepte enfin d'accomplir le seul mandat qui lui a été confié : les désarmer. Ça semble ne pas en prendre le chemin.
    En attendant, selon la Constitution, et quoiqu'il en soit de son kidnapping, Gbagbo est toujours Président, jusqu'à ce que le conseil constitutionnel se prononce sur un éventuel constat de vacance de pouvoir... auquel cas, le Président de l'Assemblée nationale (Mamadou Koulibaly, actuellement) occupe les fonctions présidentielles jusqu'à l’organisation d'un nouveau scrutin, dans les 60 jours. Lesquels, en vertu de l'accord de Ouagadougou, sont à compter à partir du désarmement des rebelles (vu l’empressement de l'Onu, ça peut prendre très longtemps)...
    Tout cela en fonction des dispositions de la constitution telles que je les comprends,... Mais je sais que l'Onu, Sarkozy et son exécuteur Ouattara, n'ont rien à f... de la Constitution !

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  4. Reste a savoir ou est Mamadou Koulibaly dans ce chaos...

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  5. Espérons qu'il soit hors de Côte d’Ivoire avant d'être assassiné, et qu'il puisse organiser un gouvernement en exil, Mamadou Koulibaly étant actuellement, selon la Constitution, le seul Président actuel en l'absence du Président Gbagbo, séquestré.

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  6. COMMUNIQUE : LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL IVOIRIEN A CONSTATE « LA VACANCE DU POUVOIR » – M. OUATTARA NE PEUT PAS LEGALEMENT DIRIGER LA RCI
    Bruno Ben MOUBAMBA 16/04/2011
    L’information est passée sous silence mais elle est pourtant de taille. Le Conseil Constitutionnel de la République de Côte d’Ivoire a constaté la vacance du pouvoir il y a quelques jours à Abidjan. Logiquement, c’est donc […] le Président de l’Assemblée Nationale qui doit assurer une nouvelle transition politique devant aboutir sur de nouvelles élections. A. Ouattara et ses soutiens internationaux le savent c’est pourquoi ils ont exigé dès lundi 11 avril 2011 du Président légal de la RCI, M. Gbagbo, la signature d’un acte de démission[…]. L’Histoire reconnaîtra la grandeur de cet homme qui, assiégé par des tanks français et des rebelles sans foi ni loi, bombardé par des missiles onusiens, disons-le sans détour, de « l’opération Licorne », a fait fi de sa vie en refusant d’apposer sa signature au bas d’un document inique. Certaines indiscrétions font même état de sommes, en millions d’euros, qui ont été proposées à L. Gbagbo, à vie, s’il démissionnait. On croit rêver.
    La loi de la jungle, c’est-à-dire celle du plus fort, veut s’appliquer dans toute sa rigueur aux Ivoiriens. Nous leur disons aujourd’hui, faites appel à votre loi fondamentale, montrons leur qu’au XXIe siècle, les africains sont conscients désormais d’être devenus, au bout de cinq siècles d’exploitation, la civilisation qui connaît «la plus longue servitude de tous les temps ».
    Un monstre, le libéral-fascisme, menace l’Afrique en général et l’Afrique francophone plus que jamais. Son objectif est de faire payer sa crise financière internationale à ceux qui ont été considérés depuis toujours comme des esclaves. Cet « Homme Africain qui n’est pas assez entré dans l’Histoire » comme le disait le […] Sarkozy dans son fameux discours de Dakar en 2007. […]
    Comment A. Ouattara peut-il être Président de la Côte d’Ivoire alors même qu’il n’a pas prêté serment devant le Conseil Constitutionnel et que cette même institution ne l’a pas reconnu comme Président de la République ? C’était pourtant l’exigence minimale de l’Union Africaine. Le silence de la plupart des Chefs d’Etat du continent africain, qui n’ont pas noyé M. Ouattara sous les félicitations est éloquent. […]
    A vrai dire, le Président de la Communauté internationale, l’ami du Président français, n’a pas d’autre solution […] que d’assumer son coup d’Etat international devant le monde […] ou alors de retourner aux urnes. […]
    Le libéral-fascisme (à l’aide entre autre des médias […]) agresse l’Afrique […]
    […] Si le « coup d’Etat international » de M. Ouattara est accepté alors n’importe qui pourra se déclarer Président de la République n’importe où à l’avenir. Si l’option armée est privilégiée sur la légalité alors tous les peuples africains doivent savoir qu’ils sont perdus pour plus d’un siècle sans doute.
    […] La rapacité des ultra-libéraux qui tiennent les médias et les pouvoirs politiques occidentaux risquent de nous entraîner dans un nouvel esclavage qui ne dit pas son nom. Voilà pourquoi toute l’Afrique doit protester derrière les Ivoiriens.
    Aucun africain digne de ce nom ne peut accepter ce que M. Ouattara a fait à la Côte d’Ivoire : financer un premier coup d’Etat contre M. Konan Bédié fin 1999 ; sponsoriser une rébellion armée en 2002, oublier qu’il doit son retour dans le jeu politique ivoirien à M. Gbagbo ; privilégier la brutalité en marchant sur des milliers de cadavres pour réaliser son rêve de Chef d’Etat ; cacher au monde entier le fait qu’il ne peut pas prêter serment par écrit et se considérer comme Chef d’Etat. […] Le Conseil Constitutionnel Ivoirien ne peut pas se dédire. […]
    Alors, cher Peuple Ivoirien, courage. Battez-vous au nom de la loi car Monsieur Ouattara et ses soutiens internationaux ont déjà perdu la bataille du droit.

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